Enapplication de l’article L. 16-10-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, afin de limiter la propagation de l’épidĂ©mie de 2019-n-Cov, les assurĂ©s qui font l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction ou de maintien Ă  domicile ainsi que ceux qui sont parents d’un enfant de moins de seize ans faisant lui-mĂȘme l’objet d’une telle mesure et qui se trouvent, pour l’un de Toutsavoir ou presque sur les amĂ©nagements scolaires : PAP, PPS, PAI, PPRE . Les Ă©lĂšves prĂ©sentant des difficultĂ©s cognitives (« dys », TDA/H) ou psychologiques (refus scolaire anxieux, dĂ©pression ) peuvent prĂ©tendre Ă  des amĂ©nagements afin d’adapter la scolaritĂ© Ă  leurs besoins et Ă  leurs capacitĂ©s. En fonction de la LeshĂŽpitaux privĂ©s peuvent refuser des patients en cas de non-urgence, mais les hĂŽpitaux publics ne peuvent pas refuser des soins. Les hĂŽpitaux publics, financĂ©s par l’argent des contribuables, sont tenus Ă  une norme diffĂ©rente de celle des hĂŽpitaux privĂ©s Ă  but lucratif. Cela signifie qu’un hĂŽpital public est la meilleure Laquestion de la maman : Je suis une jeune maman de 26 ans. Je vous contacte car je suis dĂ©semparĂ©e. Mon fils est nĂ© avec des problĂšmes de santĂ©, il a Ă©tĂ© opĂ©rĂ© Ă  sa naissance d'un Refusd’une AVS : la dĂ©tresse d’une maman PubliĂ© le 25 juin 2018 Ă  10h56 ModifiĂ© le 25 juin 2018 Ă  18h05 ils peuvent enrichir le dossier avec de Vay Nhanh Fast Money. Les parents d'un enfant handicapĂ© scolarisĂ© dans une Ă©cole maternelle Ă  Paris, en attente depuis deux ans d'un auxiliaire de vie scolaire AVS pour aider leur enfant en classe, ont dĂ©posĂ© un rĂ©fĂ©rĂ© devant le tribunal administratif de Paris. 14 octobre 2006 ‱ Par ThĂšmes Paris, 13 oct 2006 Selon le SNUipp-FSU, principal syndicat des Ă©coles primaires qui a signalĂ© cette situation dans un communiquĂ©, "une famille du XIXe arrondissement de Paris a dĂ©cidĂ© de porter cette carence de l'Etat devant le tribunal administratif. Pour son enfant, la prĂ©sence de l'Auxiliaire de Vie Scolaire est indispensable en classe". ContactĂ© par l'AFP, le pĂšre de cet enfant autiste ĂągĂ© de 5 ans, Roch Sonnet a expliquĂ© qu'il a cessĂ© de renouveler depuis deux ans les demandes d'un AVS pour son fils. "J'avais obtenu l'an dernier l'affectation Ă  mi-temps d'un AVS, je n'ai rien vu venir. J'ai Ă©crit Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie, au mĂ©diateur de la RĂ©publique, au secrĂ©taire d'Etat chargĂ© de l'EgalitĂ© des chances, je n'ai rien obtenu du tout !", a dĂ©plorĂ© le pĂšre de cet enfant scolarisĂ© Ă  l'Ă©cole de la rue de la PrĂ©voyance XIXe. "Nous avons donc dĂ©posĂ© un rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ© mercredi au tribunal administratif pour non application de la dĂ©cision de nous accorder un AVS", a prĂ©cisĂ© M. Sonnet. Aucun nouvel AVS n'a Ă©tĂ© affectĂ© pour son fils depuis la rentrĂ©e. "Plus le temps passe, plus son handicap avance faute d'une vraie prise en charge Ă  l'Ă©cole. Et aprĂšs, les autoritĂ©s nous suggĂšrent de mettre notre enfant dans des centres spĂ©cialisĂ©s, alors qu'il ne souffre pas d'un handicap lourd", a-t-il ajoutĂ©. Selon Edouard Rosselet, l'inspecteur d'acadĂ©mie chargĂ© du premier degrĂ© Ă  Paris, "deux AVS ont Ă©tĂ© implantĂ©s dans cette Ă©cole mais ces deux emplois ne sont pas occupĂ©s car ces deux personnes ont dĂ©missionnĂ©, c'est une situation anormale mais pas un dĂ©faut de prĂ©voyance". M. Rosselet a prĂ©cisĂ© Ă  l'AFP qu'il allait "tout de suite envoyer une personne en remplacement". Selon AgnĂšs Duguet, responsable du dossier adaptation et scolarisation des Ă©lĂšves handicapĂ©s au Snuipp-FSU de Paris, "100 Ă  150 Ă©lĂšves handicapĂ©s se retrouvent dans ce cas dans la capitale et sont contraints de rester Ă  la maison". phi/lum/ds Partager sur Tous droits de reproduction et de reprĂ©sentation rĂ©servĂ©s.© 2022 Agence les informations reproduites sur cette page sont protĂ©gĂ©es par des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©tenus par l'AFP. Par consĂ©quent, aucune de ces informations ne peut ĂȘtre reproduite, modifiĂ©e, rediffusĂ©e, traduite, exploitĂ©e commercialement ou rĂ©utilisĂ©e de quelque maniĂšre que ce soit sans l'accord prĂ©alable Ă©crit de l'AFP. L'AFP ne pourra ĂȘtre tenue pour responsable des dĂ©lais, erreurs, omissions qui ne peuvent ĂȘtre exclus, ni des consĂ©quences des actions ou transactions effectuĂ©es sur la base de ces informations ». ThĂšmes La pauvretĂ© gagne du terrain, les plus dĂ©munis survivent avec presque rien, les experts » ferment totalement les yeux sur cette rĂ©alitĂ© qu’ils se refusent d’admettre car leurs solutions ne font que l’exacerber, les jeunes se disent laissĂ©s-pour-compte et n’excluent pas un mouvement de rĂ©volte. Les professionnels du social et bĂ©nĂ©voles des associations manquent de rĂ©ponses face Ă  cette tragĂ©die qui se dĂ©roule dans une certaine indiffĂ©rence politique et mĂ©diatique. Ça va pĂ©ter ! », scĂšne Palau, assistante sociale, reçoit Ă  sa permanence Madame Marin vivant seule avec ses deux enfants. AprĂšs avoir perçu le RMI, elle avait trouvĂ© un emploi d’AVS dans un collĂšge, dans le cadre de l’accompagnement d’un enfant handicapĂ©. On lui avait promis le poste pour cinq ans, mais les rĂšgles ayant changĂ©, elle a perdu son emploi au bout d’un an et demi. TrĂšs déçue, elle a fait des mĂ©nages ici ou lĂ , avec des horaires difficiles, compte tenu de l’ñge de ses enfants 10 et 12 ans. Elle voudrait faire une formation pour pouvoir aider des personnes Ă  domicile. Sauf qu’elle a un BTS en agriculture les rĂšgles, lĂ  encore, ont changĂ© depuis peu, elle ne peut bĂ©nĂ©ficier de cette formation aidĂ©e puisqu’elle a dĂ©jĂ  un BTS. Elle n’a pas droit Ă  l’épicerie sociale car a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© aidĂ©e. Il y a une telle montĂ©e de la pauvretĂ© que les services ou associations, quels qu’ils soient, sont conduits Ă  trier parmi les sociale tente de rassurer Mme Marin en lui disant je risque de vous choquer mais lĂ  vous ĂȘtes une sorte de privilĂ©giĂ©e parce que, vous, vous avez droit au RSA ». Et elle l'invite Ă  rĂ©duire ses dĂ©penses. Un colis alimentaire d’urgence va tout de mĂȘme lui ĂȘtre attribuĂ©, car elle n’a plus rien Ă  la maison mĂȘme pas un paquet de chips », j’en ai honte. Aucun de vous ne sait ce que c’est que d’avoir honte. Honte d’avoir Ă©chouĂ© sa vie, son travail, honte d’avoir ses placards vides et des enfants qui vous attendent au tournant ».Il est vrai que bientĂŽt les colis alimentaires ne pourront plus ĂȘtre distribuĂ©s. A une jeune assistante sociale qui ne supporte plus ces restrictions, son chef rĂ©torque si tu ne supportes pas, dĂ©missionne ». Et elle de rĂ©pondre Ce travail, je l’ai choisi et je l’aime. Je n’avais pas imaginĂ© que ça deviendrait ça
 cette maniĂšre de dĂ©pouiller les uns pour Ă  peine aider les autres et ensuite de dĂ©pouiller les autres pour faire patienter les uns ».Mme Marin s’en va, en rappelant qu’il lui manque 60 € pour finir le mois j’ai tout vĂ©rifiĂ©, je ne peux plus gratter sur rien. Croyez-vous que je puisse vendre un morceau de ma personne ? » Et une assistante sociale de commenter Ça va pĂ©ter. Je vous le dis moi, ça va pĂ©ter et c’est nous qui sommes en premiĂšre ligne ». Fin de la scĂšne. "Aucun de vous ne sait ce que c’est que d’avoir honte. Honte d’avoir Ă©chouĂ© sa vie, son travail, honte d’avoir ses placards vides et des enfants qui vous attendent" [Photo YF]Théùtre-forum Cette scĂšne a Ă©tĂ© jouĂ©e, dans le cadre d’un théùtre-forum 1, par des habitants d’un quartier populaire, inspirĂ©e par des faits rĂ©els vĂ©cus par certains d’entre eux. Les acteurs » ne jouent pas leur propre histoire, mais Mme Marin et Mme Palau sont jouĂ©es par deux habitantes du quartier, qui galĂšrent comme tant d’autres et qui interprĂštent leur rĂŽle avec une Ă©tonnante force de persuasion. Le principe du théùtre-forum consiste Ă  jouer des saynĂštes courtes ensuite les spectateurs peuvent proposer d’autres façons de jouer la ce jour-lĂ , les saynĂštes mettant plusieurs fois en cause les propos des travailleurs sociaux, certains d’entre eux, prĂ©sents dans la salle, viennent sur la scĂšne proposer d’autres Ă  ces reprĂ©sentations. La phrase de l’ assistante sociale » selon laquelle percevoir le RSA c’est ĂȘtre privilĂ©giĂ© » offusque les professionnels. L’animatrice aperçoit ma propre rĂ©action elle m’incite alors, Ă  mon corps presque dĂ©fendant, Ă  venir donner une nouvelle situation devient alors cocasse. En effet, je suis un ancien professionnel de l’action sociale de terrain, un ancien formateur de travailleur sociaux, un ancien cadre de l’action sociale, assurant toujours des interventions auprĂšs d’étudiants ou de professionnels du secteur social, et me voilĂ  propulser pour jouer un bĂ©nĂ©ficiaire du RSA, rĂ©primandant une assistante sociale » qui est, en rĂ©alitĂ©, une femme qui vit une situation sociale effectivement, je l’alpague en lui demandant si elle est autorisĂ©e par sa hiĂ©rarchie pour traiter de privilĂ©giĂ©s les bĂ©nĂ©ficiaires du RSA, avec 425 € mensuels pour une personne seule ! Je vois les collĂšgues » de l’assistante sociale qui sont, en fait, eux aussi des personnes relevant des minima sociaux qui opinent du chef. Elle m’oppose l’allocation logement. Je lui rĂ©ponds que j’ai tout de mĂȘme un loyer rĂ©siduel, l’électricitĂ© Ă  payer, un peu de vĂȘtements Ă  acheter il ne me reste mĂȘme pas 4 € pour manger chaque jour. Je vois les femmes, derriĂšre elle, faire preuve presque de compassion. Alors c’en est trop elle passe de la scĂšne Ă  la rĂ©alitĂ©, elle m’attrape le bras me disant que le texte qu’elle a prononcĂ© a Ă©tĂ© Ă©crit avant qu’elle n’arrive et qu’elle n’était pas d’accord de tenir de tels propos mĂȘme dans la bouche d’une assistante sociale. Elle rĂ©pĂšte ses excuses, toute rouge de confusion. Nous Ă©tions Ă  front renversĂ©. ScĂšne Ă  la fois drĂŽle et lĂ  n’est pas l’essentiel l’essentiel serait que ceux qui, avec des salaires mirobolants, font mĂ©tier d’insulter Ă  longueur d’articles, d’émissions de tĂ©lĂ©vision, de discours sur les estrades les citoyens condamnĂ©s Ă  vivre dans la prĂ©caritĂ©, puissent assister Ă  de telles saynĂštes. Auraient-ils le courage de poursuivre leurs analyses de mĂ©pris, seraient-ils dĂ©magogues admettant que dans quelques cas, bien sĂ»r c’est diffĂ©rent », ou prĂȘts Ă  ouvrir les yeux sur une rĂ©alitĂ© sociale que soit ils ignorent, soit ils ne veulent pas connaĂźtre ? Les Yves ThrĂ©ard, AgnĂšs Verdier-MoliniĂ© et autres Jean-Marc Sylvestre, qui s’ingĂ©nient Ă  prĂŽner l’accroissement des inĂ©galitĂ©s afin que leur systĂšme perdure, tablent sans doute sur la rĂ©signation de ses victimes. Jusqu’à quand ?La jeunesse prĂȘte Ă  se rĂ©volter ?L’enquĂȘte GĂ©nĂ©ration quoi ? » auprĂšs des 18-34 ans menĂ©e par deux sociologues, CĂ©cile Van de Velde et Camille Peugny, montre que cette jeunesse se considĂšre comme une gĂ©nĂ©ration perdue », persuadĂ©s qu’ils ne connaĂźtront rien d’autre que la crise, et que ce sera pire pour leurs enfants. Le discours de crise qui rĂšgne dans les mĂ©dias et qui est tenu par une partie de la classe politique est tel qu’ils sont convaincus d’ĂȘtre des dĂ©classĂ©s. AidĂ©s par leurs parents, ils ne leur en veulent pas, mais ils sont sĂ©vĂšres tout de mĂȘme Ă  l’encontre de la gĂ©nĂ©ration qui les a prĂ©cĂ©dĂ©s et qui ne leur a pas assurĂ© ce Ă  quoi ils avaient droit. Comme le discours dominant est en partie mensonger Ă  propos de la dette ou des retraites, ils en concluent que ce sont eux qui portent le poids de cette dette qu’ils n’ont pourtant pas créée, et qu’ils n’auront pas droit Ă  une retraite les idĂ©ologues qui, depuis quelques annĂ©es seulement, ont menĂ© un combat acharnĂ© pour inculquer au petit peuple qu’il devrait payer ont apparemment gagnĂ© sur ce point une partie de la jeunesse a pris quasiment acte qu’elle n’aurait pas de retraite, ce qui Ă©videmment est faux, mais cette croyance lui fera accepter tous les reculs sur les droits sociaux ambitionnĂ©s par les fauteurs de crise. Restitution des deux sociologues sur le site [capture d'Ă©cran]Mais tout n’est pas jouĂ© l’enquĂȘte auprĂšs des jeunes montre que s’ils en veulent aux politiques tous corrompus », c’est parce qu’ils laissent la finance diriger le monde ils sont 90 % Ă  le penser. Pas l’entreprise, pas le capitalisme ils se disent plutĂŽt libĂ©raux sur le plan Ă©conomique, en tout cas par nĂ©cessitĂ© », mais la finance qui Ă©crase tout sur son passage au profit astronomique de quelques uns. Sans effectivement que les dĂ©cisions politiques ne l’ c’est ainsi que les jeunes, toutes catĂ©gories confondues y compris ceux qui ont un emploi sont, en moyenne, Ă  61 %, favorables Ă  une rĂ©volte type de celle de mai leur sera difficile de dire Ă  la finance anonyme qu’ils ne supportent plus ce monde injuste qu’elle organise, qu’au moins ils exigent des responsables politiques de prendre les dĂ©cisions qui s’imposent en vue d’une sociĂ©tĂ© plus juste, d’un État qui respecte sa Constitution sur l’égalitĂ© et la fraternitĂ©, et sur les conditions dĂ©centes d’existence. Ce qui n’est pas le cas aujourd’ 1 Le théùtre-forum a Ă©tĂ© inventĂ© dans les favelas de Sao Paolo par Augusto Boal, homme de théùtre argentin, fondateur du Théùtre de l’OpprimĂ©, que j’ai vu Ă  la Cartoucherie de Vincennes en 1980, oĂč il proposait aux spectateurs de venir sur les planches rejouer une scĂšne qui ne leur convenait technique est utilisĂ©e dans beaucoup de pays de par le monde. En France, elle est pratiquĂ©e, Ă  l’initiative de professionnels du secteur social ou Ă©ducatif, dans de nombreux dĂ©partements. Des organismes de formation s’en servent pour favoriser la relation ou pour permettre Ă  des stagiaires de retrouver l’estime de soi. Des services sociaux de proximitĂ©, avec financement des conseils gĂ©nĂ©raux sur fonds d’insertion, la proposent aux usagers, comme en IsĂšre ou dans le Gers j’ai ainsi pu assister Ă  des saynĂštes du théùtre-forum Ă  Grenoble et Ă  Auch dont la scĂšne racontĂ©e ci-dessus dans mon billet, animĂ©e par des intervenantes de TSF, Théùtre Sans FrontiĂšres, de Toulouse. Je suis co-auteur d’une fiche du Guide de l’insertion de l’EncyclopĂ©die Weka sur le sujet.2 Voir la prĂ©sentation originale sur ce site a Ă©tĂ© menĂ©e par deux jeunes sociologues selon une mĂ©thode attractive qui a fait que 210 000 jeunes ont rĂ©pondu Ă  une centaine de questions. Le restitution est bien faite avec interviews des sociologues, et en contrepoint les avis de certains politiques Michel Rocard, Jean-François CopĂ©, BenoĂźt Apparu, Christine Boutin, ClĂ©mentine Autain, Pierre Laurent, GĂ©rard Filoche, Rama Yade, MichĂšle Alliot-Marie. Sur le thĂšme des inĂ©galitĂ©s, les jeunes, Ă  85 %, estiment qu’elles s’accroissent rĂ©guliĂšrement. A cela, GĂ©rard Filoche PS rĂ©pond que les 500 familles les plus riches ont gagnĂ© 59 milliards d’euros de plus en un an pour atteindre 330 Mds€ soit Ă  peu prĂšs l’équivalent du budget de l’Etat. Il faut qu’ils aient fait beaucoup d’heures supplĂ©mentaires .. . » Ce n’est pas avec leur travail qu’ils ont gagnĂ© ça, c’est avec notre travail. Cet argent, c’est sur notre sueur, sur notre prĂ©caritĂ©, sur notre chĂŽmage, sur notre misĂšre ». Pierre Laurent PC constate que l’on est passĂ© d’un Ă©cart de revenus qui Ă©tait de 1 Ă  20 Ă  1 Ă  500. BenoĂźt Apparu UMP tient des propos sĂ©rieux, reconnaissant une aggravation de la difficultĂ© pour les fils d’ouvriers d’accĂ©der Ă  des Ă©tudes supĂ©rieures. Jean-François CopĂ© UMP pense que tout est de la faute de François Hollande et MAM UMP considĂšre que ceux qui vont beaucoup travailler, vont faire beaucoup d’efforts ne vont pas ĂȘtre beaucoup plus rĂ©munĂ©rĂ©s que ceux qui ne font aucun effort ». Comme elle craint de n’avoir pas Ă©tĂ© assez percutante, alors elle ajoute Il arrive que des personnes qui, par exemple, vont se retrouver allocataires, sans avoir de rĂ©munĂ©ration, soient aidĂ©es, c’est normal, mais qu’elles aient plus que ceux qui travaillent, ce n’est pas normal ». Madame Alliot-Marie, il faudrait venir dire cela en face de ceux qui galĂšrent dans les quartiers. Pour dire la vĂ©ritĂ©, je ne sais pas comment peuvent rĂ©agir ceux qui sont allocataires » devant l’odieux Ă©rigĂ© en systĂšme. RĂ©ponse de MichĂšle Alliot-Marie aux jeunes choquĂ©s par les inĂ©galitĂ©s "Il arrive que les allocataires, ceux qui ne travaillent pas, gagnent plus que ceux qui travaillent. Ce n'est pas normal" [capture d'Ă©cran][Le blog Social en question est consacrĂ© aux questions sociales et Ă  leur traitement politique et mĂ©diatique] French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Comment mes parents peuvent-ils faire la fĂȘte alors que Leopold est... I don't understand how my parents can have this party when Leopold is... Mes parents peuvent-ils continuer Ă  payer mes primes? En tant que Suit'er, mes amis et parents peuvent-ils bĂ©nĂ©ficier de tarifs prĂ©fĂ©rentiels sur les rĂ©sidences ? Being a Suit'er, can my friends and family enjoy special rates on stays in SuitĂ©tudes properties? Regarde comment ça s'est passĂ© pour mes parents, ils ne peuvent plus se supporter l'un l'autre! No results found for this meaning. Results 24101. Exact 2. Elapsed time 433 ms. Accueil Hauts-de-France Tourcoing Une famille de plus dans le combat de l’aide aux parents d’enfants handicapĂ©s. On refuse une assistante de vie scolaire Ă  temps plein pour leur fils trisomique. Louis se sent pourtant bien Ă  l’école. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous Ă  partir de 1€ Ă  notre offre numĂ©rique. Sans engagement de durĂ©e. ESSAYER POUR 1€ Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  abonnĂ© ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 9h29 France Incendies en Gironde voici pourquoi le vin risque d’avoir un goĂ»t dĂ©sagrĂ©able» 9h05 LOSC Ajaccio – Lille le LOSC a parfaitement rĂ©agi 8h48 France Vacances d’étĂ© une saison touristique rĂ©ussie pour la France, le littoral a la cote 8h15 International Portugal grĂšve chez un bagagiste, 150 vols annulĂ©s, Easyjet le plus affectĂ© 7h41 International TraitĂ© pour protĂ©ger la haute mer toujours pas d’accord Ă  l’ONU Toute l'info en continu > Quel est le cadre sanitaire applicable dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires ?L’accueil des Ă©lĂšves au sein des Ă©coles et des Ă©tablissements scolaires se fait dans le respect du cadre sanitaire en vigueur pour cette annĂ©e de mettre en Ɠuvre des mesures proportionnĂ©es, cohĂ©rentes avec les mesures applicables en population gĂ©nĂ©rale, le ministĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse a Ă©tabli, en lien avec les autoritĂ©s sanitaires, une graduation comportant un socle de mesures et trois niveaux de protocole socle de mesures ;niveau 1 / niveau vert ;niveau 2 / niveau orange ;niveau 3 / niveau analyse rĂ©guliĂšre de la situation Ă©pidĂ©mique est assurĂ©e par le ministĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, en lien avec le ministĂšre de la SantĂ© et de la PrĂ©vention, sur la base notamment des indicateurs fournis par SantĂ© publique France pour diffĂ©rentes Ă©chelles territoriales. La dĂ©termination du niveau applicable s’appuie sur une analyse qualitative nature et caractĂ©ristiques des variants et quantitative situation hospitaliĂšre notamment de la situation. Le passage d’un niveau Ă  un autre sera dĂ©cidĂ© par les autoritĂ©s nationales et pourra concerner tout ou partie du cadre sanitaire est disponible sur le site du sera le niveau du cadre sanitaire applicable Ă  la rentrĂ©e scolaire 2022 ?Compte tenu de la situation sanitaire et des rĂšgles applicables en population gĂ©nĂ©rale, la rentrĂ©e scolaire se dĂ©roulera, sur l’ensemble du territoire national, avec la seule application des mesures prĂ©vues par le socle, c’est-Ă -dire l’application en milieu scolaire des recommandations Ă©mises par les autoritĂ©s sanitaires pour l’ensemble de la Ă©lĂšves sont accueillis pour des cours en prĂ©sentiel. Les activitĂ©s physiques et sportives se dĂ©roulent sans restriction, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. La limitation du brassage, des regroupements et des rĂ©unions n’est pas requise. En revanche, il demeure recommandĂ© un lavage rĂ©gulier des mains ou la mise Ă  disposition de solutions hydroalcooliques ;une aĂ©ration rĂ©guliĂšre des locaux 10 minutes toutes les heures ou la vĂ©rification du bon fonctionnement et de l’entretien des systĂšmes de ventilation mĂ©canique ;un nettoyage quotidien et une dĂ©sinfection rĂ©guliĂšre des surfaces et points de contact frĂ©quemment niveau de protocole pourra ĂȘtre modifiĂ© en cas de dĂ©gradation de la situation sanitaire. La dĂ©termination du niveau applicable s’appuiera sur une analyse qualitative nature et caractĂ©ristiques 3 des variants et quantitative situation hospitaliĂšre notamment de la situation. En cas de renforcement du protocole passage au niveau 1 ou 2 par exemple, un dĂ©lai de mise en Ɠuvre de 10 jours sera Ă©lĂšves et les personnels doivent-ils porter des masques ?Que ce soit pour le socle ou pour les trois niveaux de protocole, les rĂšgles relatives au port du masque applicables aux adultes et aux enfants en population gĂ©nĂ©rale s’appliquent au milieu scolaire les rĂšgles applicables Ă  l’espace public pour les espaces extĂ©rieurs et celles applicables aux Ă©tablissements recevant du public de mĂȘme nature pour les espaces intĂ©rieurs. Elles sont dĂ©finies par les autoritĂ©s moment de la rentrĂ©e scolaire 2022, le port du masque n’est pas requis en population gĂ©nĂ©rale. Il n’est donc pas requis en milieu scolaire, ni pour les personnels, ni pour les Ă©lĂšves. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle Ă  ce que les Ă©lĂšves ou les personnels qui le souhaitent portent le masque. Le port du masque ne peut en revanche ĂȘtre imposĂ© tant aux Ă©lĂšves qu’aux aux recommandations des autoritĂ©s sanitaires, le port du masque en intĂ©rieur est fortement recommandĂ©, Ă  partir de 6 ans, pour les personnes contacts Ă  risque durant les 7 jours aprĂšs la survenue du cas confirmĂ© ainsi que pour les cas confirmĂ©s durant les 7 jours suivant leur pĂ©riode d’isolement. Il est Ă©galement recommandĂ© pour les personnes Ă  risque de forme est le niveau de protection des masques fournis par le ministĂšre de l’Education nationale ?Les personnels de l’éducation nationale intervenant dans les Ă©coles, les collĂšges et les lycĂ©es sont dotĂ©s, s’ils le souhaitent, de masques chirurgicaux jetables de type II ou capteurs CO2 sont-ils recommandĂ©s ?Il est recommandĂ© d’équiper les Ă©coles et Ă©tablissements scolaires de capteurs CO2 mesure de la concentration en CO2 Ă  l’aide de capteurs permet en effet d’évaluer le niveau de renouvellement d’air et par consĂ©quent de dĂ©terminer la frĂ©quence d’aĂ©ration nĂ©cessaire pour chaque local ;de contrĂŽler le bon fonctionnement de la ventilation dans les bĂątiments oĂč le renouvellement de l’air est assurĂ© par des installations durant une ou deux journĂ©es dans une classe, un capteur CO2 mobile permet Ă  l’enseignant d’identifier Ă  quelles frĂ©quence et durĂ©e il est nĂ©cessaire d’aĂ©rer la classe, et d’adapter les pratiques d’aĂ©ration en fonction de sa configuration volume, niveau d’occupation, caractĂ©ristiques des bĂątiments
.Le capteur mobile pourra Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© aux moments propices de la journĂ©e dans les locaux connaissant des pics de frĂ©quentation exemple de la cantine Ă  l’heure de dĂ©jeuner et aider Ă  dĂ©terminer la frĂ©quence et la durĂ©e des mesures d’ ailleurs, ce dĂ©ploiement permet une sensibilisation des Ă©lĂšves et des personnels Ă  l’importance de l’aĂ©ration dans le cadre d’une approche pĂ©dagogique, par exemple par l’enseignement des mĂ©canismes de propagation des virus, de la qualitĂ© de l’air intĂ©rieur, de la respiration, ou de la technologie des capteurs. La fabrication de capteurs en milieu scolaire ainsi que l’implication des reprĂ©sentants des Ă©lĂšves sont infographie expliquant le rĂŽle et l’utilisation des capteurs de CO2 est disponible sur le site du dĂ©ploiement des purificateurs d’air est-il recommandĂ© ?Les purificateurs d’air ne peuvent en aucun cas se substituer aux apports d’air extĂ©rieur. Ils ne permettent pas non plus de s’affranchir des mesures de prĂ©vention de la transmission du SARS-CoV-2 par contact avec des surfaces contaminĂ©es et par contact ou inhalation de gouttelettes Ă©mises par une personne dans les situations exceptionnelles oĂč une ventilation naturelle ou mĂ©canique ne permet pas un taux de renouvellement de l’air intĂ©rieur suffisant, les dispositifs de purification d’air peuvent ĂȘtre utilisĂ©s en complĂ©ment. Il convient de s’assurer au prĂ©alable que la technologie envisagĂ©e ne gĂ©nĂšre pas de risques pour la Haut conseil de la santĂ© publique recommande Ă  cet Ă©gard dans un avis en date du 14 et 21 mai 2021 de n’implanter que des unitĂ©s mobiles de purification d’air par filtration HEPA H13 ou H14 ou taux de filtration Ă©quivalent, respectant les normes relatives aux filtres et aux performances intrinsĂšques de l’appareil ;de prĂ©voir, pour chaque implantation d’unitĂ©s mobiles de purification de l’air dans un lieu donnĂ©, une Ă©tude technique prĂ©alable par une personne qualifiĂ©e ou par le fournisseur Ă©tude devra permettre d’identifier et prĂ©ciser, entre autres le volume du local Ă  traiter ;les aĂ©rations et ventilations existantes en identifiant les flux d’air naturels ou forcĂ©s ;le nombre d’appareils Ă  prĂ©voir pour assurer une filtration suffisante de l’air de la piĂšce Ă  traiter en prĂ©voyant au minimum de filtrer chaque heure 5 fois le volume du local ;la disposition des appareils compte tenu des obstacles Ă©ventuels Ă  la circulation de l’air et du besoin d’éviter les flux vers les visages des entretien rĂ©gulier suivant les prĂ©conisations du fournisseur devra impĂ©rativement ĂȘtre rĂ©alisĂ©. Il conviendra enfin de s’assurer, pour limiter la dispersion des gouttelettes, que ces purificateurs n’engendrent pas des vitesses d’air trop Ă©levĂ©es au niveau des sont les recommandations pour le fonctionnement des cantines scolaires ?La restauration scolaire est assurĂ©e par les collectivitĂ©s dans le respect des dispositions rĂ©glementaires et des mesures prescrites par le cadre sanitaire applicable Ă  l’école ou l’établissement attention particuliĂšre est apportĂ©e au renouvellement de l’air dans les espaces de restauration et Ă  l’hygiĂšne des mains. Le recours au capteur CO2 est personnels travaillant dans les Ă©coles et Ă©tablissements scolaires bĂ©nĂ©ficient-ils d’autotests gratuits ?Oui, s’ils le souhaitent, tous les personnels travaillant au contact des Ă©lĂšves dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires personnels relevant de l’éducation nationale, des collectivitĂ©s territoriales et de l’enseignement agricole notamment peuvent obtenir gratuitement des autotests en prĂ©sentation d’une attestation professionnelle Ă©tablie et remise par l’employeur service acadĂ©mique, collectivitĂ© territoriale
 ainsi que d’une piĂšce d’identitĂ©, chaque bĂ©nĂ©ficiaire se verra dĂ©livrer 10 autotests par mois.

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