Parmiceux-ci, il est, entre autres, à l'origine de la récente loi du 12 mars 2012 qui dote l'École Polytechnique d'une gouvernance moderne alignée sur les meilleures pratiques internationales, réforme la plus importante qu'elle ait connue depuis deux siècles.
Lindustrie lorraine du fer ou comment tuer la poule aux oeufs d'or par Jean-Louis Masson aux éditions Cujas.
LaPoule aux oeufs d’or Fable L’avarice perd tout en voulant tout gagner. Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable, Pondait tous les jours un oeuf d’or. Il crut que dans son corps elle avait un trésor. Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
Lapoule aux oeufs d’or. L’avarice perd tout en voulant tout gagner. Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable, Pondait tous les jours un oeuf d’or. Il crut que dans [] Plus. par Jean de La Fontaine. 5 Points . J'aime Je n'aime pas. Plus. Lire plus tard ; Ajouter aux Favoris; Ajouter à ma collection; C'était OK Bof J'ai
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Vay Nhanh Fast Money. Il s’agit de la fable XIII du livre V des Fables choisies, publié en 1668. Le fonds Erhard comprend 68 illustrations de cette pédagogiquesChoisir 3 images où l’avarice est personnifiée. D’après les physionomies, la caractériser en deux que la brutalité de la fable culmine dans les vers 5, 6 et 7. Choisir les images où elle est la plus vive et commenter les images proposent une scène qui suit la tuerie et qui n’est pas explicitement présente dans la fable. Les identifier. Étudier les choix des illustrateurs pour rendre perceptible les sentiments qu’on y le vers que l’on préfère et l’image qui pourrait l’ Poule aux œufs d’orL’avarice perd tout en voulant tout gagner Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la poule, à ce que dit la fable, Pondait tous les jours un œuf d’or. Il crut que dans son corps elle avait un trésor. Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable À celles dont les œufs ne lui rapportaient rien, S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien. Belle leçon pour les gens chiches Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont pauvres devenus Pour vouloir trop tôt être riches ?
Aller au contenu L’avarice perd tout en voulant tout gagner. Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable, Pondait tous les jours un oeuf d’or. Il crut que dans son corps elle avait un trésor. Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien, S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien. Belle leçon pour les gens chiches Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont pauvres devenus Pour vouloir trop tôt être riches ? Jean de La Fontaine
Beaucoup peuvent penser que la poĂ©sie est une chose pour les personnes âgĂ©es, mais ils ont tout Ă fait tort. De nombreux grands auteurs de langue espagnole ont montrĂ© que ce n'est pas seulement faux, mais que la poĂ©sie peut ĂŞtre amusante et Ă©ducative pour les enfants. Lire des poèmes aux enfants est une excellente occasion de les divertir et de favoriser leur dĂ©veloppement cognitif. Comprendre le sens des poèmes est possible car beaucoup ont Ă©tĂ© Ă©crits spĂ©cialement pour eux. Ces poèmes ont souvent une morale qui leur fournit une source de connaissances sur le monde, bien que d'autres fois, ils ne soient qu'une source de plaisir Ă travers le langage. Peut-ĂŞtre ĂŞtes-vous intĂ©ressĂ© "70 phrases pour bĂ©bĂ©s et nouveau-nĂ©s de beaux messages Ă dĂ©dier" La meilleure poĂ©sie pour enfants 20 poèmes inoubliables Nous vous recommandons de faire le test. Au dĂ©but, vos enfants peuvent ne pas comprendre de quoi parle la lecture, mais avec le temps, ils peuvent finir par vous demander de leur lire un autre poème. Lire de la poĂ©sie peut ĂŞtre un passe-temps pour les enfants, tant qu'ils sont attrayants pour leur âge. Vous trouverez ci-dessous une sĂ©lection des meilleurs poèmes courts en espagnol Ă©crits pour les enfants. Certains d'entre eux ont certainement Ă©tĂ© entendus Ă la maison ou Ă l'Ă©cole, car ils font partie d'un hĂ©ritage culturel qui est enseignĂ© Ă la maison et Ă l'Ă©cole. Si vous souhaitez lire une large sĂ©lection de poèmes courts, nous vous recommandons "Les 20 meilleurs courts poèmes des meilleurs auteurs" 1. Les rats Les souris se sont rassemblĂ©es se dĂ©barrasser du chat; et après un long moment. de litiges et d'opinions, ils ont dit qu'ils frapperaient mettre une cloche dessus, que promener le chat avec lui, ils pourraient mieux s'en dĂ©barrasser. Une souris barbacane est sortie, Ă longue queue, hociquirromo et frisant le dos Ă©pais, dit au SĂ©nat romain, après avoir parlĂ© d'adoration pendant un moment Qui de tous doit ĂŞtre celui qui ose mettre cette cloche au chat ? Lope de Vega Il est l'auteur de ce poème qui a pour protagonistes deux animaux, la souris et le chat, traditionnellement confrontĂ©s Ă la nature prĂ©datrice de ce dernier. 2. Mon visage Dans mon visage rond j'ai des yeux et un nez et aussi une petite bouche parler et rire. Avec mes yeux je vois tout avec mon nez je fais des achis, avec ma bouche comme comment pop-corn. Le grand poète espagnol Gloria Fuertes est l'auteur de ce court poème aux vers tendres et drĂ´les qui dĂ©crit ce que l'on peut trouver dans le visage d'une manière bienveillante pour les enfants. 3. Le papillon Papillon aĂ©rien que tu es belle! Papillon aĂ©rien dorĂ© et vert. Lampe lumière... Papillon de l'air, reste lĂ , lĂ , lĂ Tu ne veux pas arrĂŞter tu ne veux pas arrĂŞter... Papillon de l'air, dorĂ© et vert. Lampe lumière... Papillon de l'air, reste lĂ , lĂ , lĂ reste ici. Papillon es-tu lĂ ? Federico GarcĂa Lorca a Ă©crit ce beau poème avec un papillon comme personnage principal. 4. De vague en vague De vague en vague de branche en branche, le vent siffle chaque matin. Du lever au coucher du soleil de lune en lune, la mère bascule, secouez le berceau. ĂŠtre sur la plage ou ĂŞtre dans le port, mon bateau il est portĂ© par le vent. L'Ă©crivain espagnol de Galice Antonio GarcĂa Teijeiro Il s'est consacrĂ© avant tout Ă la littĂ©rature pour enfants, Ă©tant l'un des plus reconnus dans le domaine. Si vous aimez les vers sur le thème de l'amour, vous aimerez "Versets d'amour 50 vers courts et romantiques pour tomber amoureux" 5. La poule aux Ĺ“ufs d'or Il Ă©tait une poule qui pondait un Ĺ“uf d'or au propriĂ©taire chaque jour. MĂŞme avec tant de profit, je suis malheureux uiso le riche gourmand DĂ©couvrez la mine d'or Ă la fois, et trouvez plus de trĂ©sors en moins de temps. Il l'a tuĂ©e, lui a ouvert le ventre pour un compte ; mais, après l'avoir enregistrĂ©, Qu'est-ce qui s'est passĂ©? que la poule est morte, il a perdu son Ĺ“uf d'or et n'a pas trouvĂ© le mien. Combien y en a-t-il pour en avoir assez ils veulent devenir riches instantanĂ©ment, projets câlins parfois d'effets si rapides que dans quelques mois seulement, quand les marquis Ă©taient dĂ©jĂ contemplĂ©s, compter ses millions ils se sont vus dans la rue sans culotte. Felix Maria SerafĂn Sánchez de Samaniego Ă©tait un Ă©crivain espagnol cĂ©lèbre pour avoir appliquĂ© une morale rationnelle dans ses faulas, qui sont presque toujours rĂ©alisĂ©es par des animaux. 6. L'oiseau L'oiseau pour chanter pensez Ă la mer. La lune est amoureuse de la chanson enchantĂ©e de l'oiseau sur mon berceau... prends soin de mes rĂŞves une fĂ©e. Mon oiseau c'est la mĂ©lodie de chaque jour. Alma Velasco Il a fait la part belle dans ce poème Ă un oiseau qui imagine son vol d'une manière très tendre. 7. Le mouton Le mouton balle, basĂ© sur des bĂŞlements les moutons communiquent avec vos voisins. Le mouton est maladroit, une seule lettre est connue l'ĂŞtre. Il me dit -Sois, ĂŠtre, ĂŠtre. Je m'en vais Gloria Fuertes a collaborĂ© Ă diverses Ă©missions de tĂ©lĂ©vision pour enfants. Les beaux poèmes pour enfants qu'il a Ă©crits sont venus Ă©clipser sa carrière poĂ©tique pour un public adulte. 8. La vache studieuse Il Ă©tait une fois une vache dans la Quebrada de Humahuaca. Comme elle Ă©tait très âgĂ©e, très âgĂ©e, elle Ă©tait sourde d'une oreille. Et mĂŞme si elle Ă©tait dĂ©jĂ grand-mère un jour, il a voulu aller Ă l'Ă©cole. Il a mis des chaussures rouges, des gants en tulle et une paire de lunettes. Le professeur l'a vue effrayĂ©e et dit - Tu te trompes. Et la vache rĂ©pondit Pourquoi ne puis-je pas Ă©tudier ? La vache, vĂŞtue de blanc, il s'installa sur le premier banc. Nous les garçons avons jetĂ© de la craie et nous mourions de rire. Les gens sont partis très curieux voir la vache studieuse. Les gens sont venus en camions, Ă vĂ©lo et en avion. Et comme la bochinche augmentait personne n'a Ă©tudiĂ© Ă l'Ă©cole. La vache, debout dans un coin, elle rumina seule la leçon. Un jour tous les garçons ils sont devenus des ânes. Et dans cet endroit Ă Humahuacala le seul sage Ă©tait la vache. Maria Elena Walsh Ă©tait l'auteur de ce joli poème. Poète, Ă©crivain, auteur-compositeur-interprète, dramaturge et compositrice argentine, elle Ă©tait une personne très aimĂ©e et reconnue pour son travail, notamment dans la poĂ©sie pour enfants. Peut-ĂŞtre aimeriez-vous lire "Les 10 meilleurs Ă©crivains latino-amĂ©ricains de tous les temps" 9. PĂ©gase, mignon pĂ©gase J'ai connu enfant, le plaisir de tourner sur un destrier rouge, lors d'une soirĂ©e. Dans l'air poussiĂ©reux les bougies scintillaient, et la nuit bleue a brĂ»lĂ© tout parsemĂ© d'Ă©toiles. joies enfantines qui coĂ»te une pièce fait de cuivre, pegasi mignon, chevaux Ă bascule ! Le poète, Ă©crivain et intellectuel Antonio Machado Il a Ă©galement consacrĂ© une partie de son Ĺ“uvre Ă des poèmes dont l'enfance est le personnage principal. 10. La Tarare La Tarara, oui ; La Tarara, non ; la Tarara, fille, que je l'ai vu. Prendre la Tarara une robe verte plein de volants et cloches. La Tarara, oui ; la tarara, non ; la Tarara, fille, que je l'ai vu. Montre ma Tarara sa queue de soie sur les ajoncs et menthe poivrĂ©e. Oh, Tarara folle. Bouge ta taille pour les garçons des olives. Federico GarcĂa Lorca C'Ă©tait un auteur espagnol très prestigieux, et c'Ă©tait aussi le cas dans le domaine de la poĂ©sie. L'homme de Grenade a Ă©crit ce tendre poème qui a plus tard eu aussi sa propre chanson. 11. avril Le chamariz dans le peuplier. -Et quoi d'autre? Le peuplier dans le ciel bleu. Et quoi d'autre? Le ciel bleu dans l'eau. Et quoi d'autre? L'eau dans la nouvelle feuille. Et quoi d'autre? La nouvelle feuille dans la rose. Et quoi d'autre? La rose dans mon coeur. Et quoi d'autre? Mon coeur dans le tien ! Juan Ramon JimĂ©nez C'Ă©tait un poète et professeur d'universitĂ© espagnol qui a remportĂ© le prix Nobel de littĂ©rature en 1956. Ce poème est dĂ©diĂ© au mois d'avril et Ă tout le spectacle que la nature nous offre au printemps. 12. Le serpent et le tilleul Chez un serrurier Le Serpent est entrĂ© un jour, Et le peu fou Sur une lime en acier. Lima lui dit Mal, ImbĂ©cile, ce sera pour vous ; Comment peux-tu me faire une brèche Que dois-je faire des poudres mĂ©talliques? » Qui fait semblant sans raison Au plus fort abattre Ne peut que donner Coups de pied contre le dard. Dans cette faula de Felix Maria SerafĂn Sánchez de Samaniego L'auteur nous offre une morale finale, dans laquelle une importante leçon est donnĂ©e sur les limites de chacun. 13. LXVI Ils fument, font du feu et de la vapeur. le ou des locomotives ? Dans quelle langue tombe la pluie? sur des villes douloureuses ? Quelles syllabes douces il rĂ©pète. l'air de l'aube de la mer? Il y a une Ă©toile plus ouverte. que le mot coquelicot ? Il y a deux crocs plus pointus. Quelles sont les syllabes de chacal? Pablo Neruda, le grand poète et diplomate chilien qui a remportĂ© le prix Nobel de littĂ©rature en 1971, s'est Ă©galement consacrĂ© Ă l'Ă©criture de poèmes qui peuvent ĂŞtre lus aux enfants. Si vous voulez lire plus de poèmes de Pablo Neruda, nous vous recommandons "Les 25 meilleurs poèmes de Pablo Neruda" 14. Roue que tu iras très loin Roue que vous irez très loin. Ala tu iras très haut. Tour du jour, mon garçon. L'aube de l'oiseau. Enfant aile, roue, tour. Le pied. La plume. Mousse. Foudre. ĂŠtre comme ne jamais ĂŞtre. Vous ne serez jamais dans les deux. Vous ĂŞtes demain. Venir avec tout en main. Tu es tout mon ĂŞtre qui revient vers son moi plus clair. L'univers que tu es quel guide plein d'espoir. Passion du mouvement, la terre est votre cheval. Ajustez-la. MaĂ®trisez-le. Et ça va germer dans son casque sa peau de vie et de mort, d'ombre et de lumière, s'amuser. Monter. La roue. En volant, crĂ©ateur de l'aube et de mai. Galop Venir. Et remplit le bas de mes bras. L'auteur de ce poème est Miguel Hernández, poète et dramaturge valencien très en vue au XXe siècle. On y voit l'enfant que l'auteur portait encore en lui, qui aimait les choses simples et dĂ©couvrir le monde. 15. Mon grand-père a achetĂ© un bateau Mon grand-père en a achetĂ© un en bois de prunier. Nous le jetons dans l'Ă©tang oĂą le ciel se rĂ©fugie. Le bateau n'a pas de rames pas de voiles, pas de marins. Il est poussĂ© par des vents d'Ă©cume, Marionnettistes joyeux. Les eaux sillonnent le bateau en bois de prunier, le bateau plein de vie qu'un jour mon grand-père a achetĂ©. Antonio GarcĂa Teijeiro dĂ©die ce poème Ă la vie Ă la mer et aux grands-parents et petits-enfants. Le souvenir d'un petit-enfant par le grand-père est l'un des plus beaux qu'un adulte puisse avoir. 16. Le chat Le chat quand il est enrouĂ© imiter le canard. Le chat devient fou quand une souris apparaĂ®t et l'invite petit Ă petit regarder la tĂ©lĂ©vision. Mon chat c'est un coussin moelleux Ă cĂ´tĂ© de moi. Alma Velasco est une Ă©crivaine, universitaire, actrice, poète et musicienne mexicaine qui a Ă©galement publiĂ© des poèmes pour enfants comme celui-ci, mettant en vedette un chat très particulier. 17. Des couples Chaque abeille avec sa partenaire. Chaque canard avec sa patte. Ă€ chacun son sujet. Chaque volume avec sa couverture. Chaque gars avec son type. Chaque sifflet avec sa flĂ»te. Chaque foyer avec son sceau. Chaque assiette avec sa tasse. Chaque rivière avec son estuaire. Chaque chat avec son chat. Chaque pluie avec son nuage. Chaque nuage avec son eau. Chaque garçon avec sa fille. Chaque ananas avec son ananas. Chaque nuit avec son aurore. Gloria Fuertes nous livre un poème dans lequel il joue avec les vers et les associations entre animaux, Ă©lĂ©ments et garçons et filles. Il va par paires. Cela pourrait vous intĂ©resser "Versets d'amour 50 vers courts et romantiques pour tomber amoureux" 18. Au milieu du port Au milieu du port, avec des bougies et des fleurs, naviguer sur un voilier de plusieurs couleurs. je repère une fille assis Ă l'arrière son visage est en lin, fraise, sa bouche. Peu importe combien je la regarde, et je continue de chercher, je ne sais pas si ses yeux ils sont verts ou bruns. Au milieu du port, avec des bougies et des fleurs, un voilier part de plusieurs couleurs. Dans ce poème Antonio GarcĂa Teijeiro Il nous explique comment quelqu'un a repĂ©rĂ© une fille et l'expĂ©rience que cela a produit pour le narrateur, qui dĂ©crit son expĂ©rience de manière très intense. 19. Le lĂ©zard pleure Le lĂ©zard pleure. Le lĂ©zard pleure. Le lĂ©zard et le lĂ©zard avec des petits tabliers blancs. Avoir perdu par inadvertance sa bague de fiancĂ©e. Oh! son anneau de plomb, Oh! son anneau de plomb Un grand ciel sans personne monter les oiseaux dans votre ballon. Le soleil, capitaine rond, Il porte une veste en satin. Regardez quel âge ils ont ! Quel âge ont les lĂ©zards ! Oh, comme ils pleurent et pleurent ! Oui, oui, comme ils pleurent ! Federico GarcĂa Lorca met en vedette un lĂ©zard et un lĂ©zard dans ce poème mariĂ©s heureux malgrĂ© avoir perdu leur bague de fiançailles. 20. La Cigale et la fourmi Chanter la cigale a passĂ© tout l'Ă©tĂ©, sans y faire des provisions pour l'hiver ; le froid l'a forcĂ©e Ă garder le silence et de se rĂ©fugier Ă l'abri de sa chambre Ă©troite. A Ă©tĂ© privĂ© de nourriture prĂ©cieuse pas de mouche, pas de ver, pas de blĂ©, pas de seigle. La fourmi y habitait, la cloison au milieu, et avec mille expressions d'attention et de respect Il lui dit Doña Hormiga, parce que dans ta grange il y a plein de provisions pour ta nourriture, prĂŞter de quoi vivre avec cet hiver cette triste Cigale, qu'elle est heureuse dans un autre temps, il n'a jamais connu le mal, n'a jamais su le craindre. N'hĂ©sitez pas Ă me prĂŞter; que je promets fidèlement vous payer avec profit, par le nom que j'ai. La fourmi gourmande rĂ©pondit hardiment, cachant les clĂ©s de la grange dans son dos Je prĂŞte ce que je gagne avec un travail immense ! Dis-moi alors, paresseuse, Qu'avez-vous fait par beau temps? » Moi, dit la Cigale, Ă chaque passager Il chantait joyeusement, sans s'arrĂŞter un instant." "Salut! Alors tu chantais quand je ramais ? Eh bien maintenant, que je mange, danse, malgrĂ© ton corps. ». Nous nous sommes retrouvĂ©s avec un faula exceptionnel de Felix Maria SerafĂn Sánchez de Samaniego, probablement le plus connu. A travers elle, il veut toujours transmettre un sens moral reprĂ©sentĂ© Ă travers les animaux, mais avec une nature très humaine. Peut-ĂŞtre ĂŞtes-vous intĂ©ressĂ© "Genres littĂ©raires les 3 types qui existent et leurs sous-genres"
Les Grands classiques Tous les auteurs Jean de LA FONTAINE La Poule aux oeufs d'or Jean de LA FONTAINE1621 - 1695 La Poule aux oeufs d'or L'avarice perd tout en voulant tout ne veux, pour le témoigner,Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,Pondait tous les jours un oeuf d' crut que dans son corps elle avait un la tua, l'ouvrit, et la trouva semblableA celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,S'étant lui-même ôté le plus beau de son leçon pour les gens chiches Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vusQui du soir au matin sont pauvres devenusPour vouloir trop tôt être riches ?
Par réaction peut être aux empires que faisaient de toute chose les siècles dont il est le légataire universel, le vingtième siècle semble avoir placé son faîte dans la systématisation de l’aisé pour rendre qualitative la quantité. A l’austérité la facilité et à l’imposant le nombre. Une façon sans doute de féconder l’impuissance. Un Shakespeare, un Voltaire, un Hegel ou un Nietzsche représentent des précédents d’autorités restés uniques, et aucun produit de l’Occident contemporain n’a pu atteindre l’éclat qu’ils ont fixé dans les mémoires. Abstraction faite de l’élément technico-scientifique et à une moindre échelle de comparaison, la lecture d’un ouvrage sans envergure particulière, d’une moyenne poésie ou d’un simple article de presse du siècle défunt nous donne la mesure de la différence entre l’esprit, l’être et la chose de l’ère présente et ceux de l’ère écoulée. Au crépuscule de son âge le vieux siècle pointe vers les lointains espaces un triomphe tout matériel qu’il a remporté et dont il grise ses vieux jours pour oublier les autres lacunes. A nous, témoins multiples que des revers de l’Histoire ont placés dans une position de passivité et de non-participation, position que nous vivons toujours, il est possible de suivre les fluctuations d’une pensée occidentale de laquelle nous persistons à dépendre d’une manière ou d’une autre. Les auteurs de ’Analyse spectrale de l’Europe’’ et du ’Déclin de l’Occident’’ 1 ont fait la théorie de son éclipse et leurs conclusions visionnaires nous aident à arrêter nos idées sur le sujet. Nous continuons sans choir à recevoir les messages transmis dont on nous a fait acquérir le code. Ainsi lisons-nous quotidiennement la presse francophone c’est généralement un des pôles importants de notre univers linguistique et une bonne partie de ce qui se publie dans l’ancienne métropole. Nous lisons à loisir et formons notre jugement. Si autrefois on écrivait le plus souvent pour la gloire de l’Esprit », pour exalter un génie ou marquer son époque, la tendance à le faire en exploitant une situation ou quoi que ce soit d’approchant était rare et peu en vogue. On projetait sa dignité et ses scrupules sur ses œuvres. Aujourd’hui on tient peu compte de ces considérations et le plus souvent on pond de petits chefs-d’œuvre » sur n’importe quel motif, en prenant le contre-pied d’une idée ou d’un parti pris, tout juste pour avoir son nom dans le lexique du petit Larousse et faire du même coup de bonnes affaires en matière de finances. On se débat comme on peut dans un monde impitoyable pour les sans audace ! Sous couvert de sociologie, d’ethnologie ou d’histoire, il est beaucoup de demi doués qui ont fait fortune. A l’issue d’un séjour de quelques semaines dans un pays d’Afrique terrain favori, après un entretien qu’ils auront eu avec les responsables d’un pays aux prises avec ses problèmes, ou tout encore pour prononcer une estimation qui serait autorisée par un savoir infus, bon nombre de gens de plume s’attaquent sans vergogne à une série de volumes dans lesquels ils content leurs ’expériences’’ et qui finiront, sait-on jamais, par faire figure d’œuvres d’histoire du moins c’est leur espoir. Ils sont légion par les temps qui courent et jusqu’aux corps qu’on supposait inaptes à fournir des lumières aux besoins de l’intellect, l’entrain qu’on y met est maladif. Karl Von Clausewitz, l’auteur de De la guerre », était certes un militaire. Un général comme on n’en fait plus, double d’un expert de l’analyse politique et dont l’œuvre s’étudie encore dans les hautes académies militaires. Un autre produit de l’ancien siècle ! Le nôtre, quant a lui, toujours dans la même aire de civilisation et dans l’ordre militaire, a donné un pauvre Massu, ignare et arrogant qui, de surcroît, a l’affront d’écrire ses prouesses en Algérie. A peine sorti, son bouquin qui lui a valu une bonne campagne a trouvé vis-à -vis dans la réponse d’un autre militaire qui n’a pas fait lui la guerre d’Algérie et qui sermonne le général » à coups de valeurs morales. Cette espèce de théoricien, de penseur, d’intellectuel, fait flopée et chacun dans son rayon guerre d’Algérie, sociologie religieuse, ethnologie, Tiers-monde… . Ils se font recevoir par le numéro un d’un Etat, passent du bon temps aux frais de la princesse, bénéficient de tous les honneurs et privilèges et, à leur retour, confectionnent un bouquin au tire criard, dans le style le plus louche et les règles de la mentalité indigéniste. Les machines tournent, les éditeurs publient, les milieux ponctuent et les commandes affluent. Tout pour maintenir au beau fixe le business et à qui mieux dans la course. La bonne recette fait des prospérités et tout le monde s’y met ; chacun selon des raisons propres et d’où le facteur pécuniaire n’est que rarement absent. Ils sont, dit-on, l’élite de la classe des intellectuels objectifs » et progressistes », ils ont maintes amitiés dans les pays où ils s’adonnent aux recherches » et sont même considérés comme de grands amis par ceux qui leur ouvrent les portes de la recherche ». Exception faite d’une poignée, tout le reste n’est qu’aventuriers, obscurs oiseaux de proie au verbe méprisant et à la plume hypocrite qui, à défaut ou par incapacité de réserver leur sagacité, culture ou talent à un labeur moins attaché aux histoires des autres et plus utile pour le propre honneur des générations dont ils ne tiennent pas nous parlons des sommités culturelles des temps passés vivotent sur le dos du monde en voie de développent. Ceux-là sont connus et leurs agissements réputés. D’autres part et avec moins de danger il y a ceux dont la bourse n’est pas maigre et qui s’occupent surtout à sauver leurs arrières se garantir une célébrité posthume. C’est le cas par exemple de Johnson qui, après une période tumultueuse passée sur un fauteuil présidentiel, travaille pour ses vieux jours une fois descendu sur le perron en publiant un livre-choc » dans lequel fourmillent, parait-il, secrets et révélations. Il a dû se dire à part soi que Johnson, l’homme qui a siégé des années durant aux destinées de l’humanité, ne sera pas écarté, relégué, oublié quelque temps seulement après avoir abandonné la scène où se joue le sort de la planète Terre it would be very stupid ! » Il s’est alors mis à veiller tard la nuit pour rédiger d’une main tremblante d’âge et de souvenirs coupables l’histoire de ce que fut son historique pouvoir avec retouches et omissions, loi du silence oblige. Le livre nous parviendra peut-être, on le lira comme on a lu d’autres mais il nous paraîtra certainement moins horripilant que ce qui pénètre d’habitude nos frontières car ne nous concernant pour ainsi dire presque pas. Il ne nous intéressera que dans un certain sens, préoccupés que nous devons être dans l’urgence du moment par les conteurs et autres spécialistes » du Tiers-Monde qui font le marathon d’un pays à l’autre à la recherche de sujet payants, de marchés d’écoulement et de paroisses, nul n’étant prophète en son pays. Hermann de Keyserling Spectrum Europas », 1928, Traduit par et Spengler traduit pour la première fois au monde de l’allemand au français sous le tire ’Le déclin de l’Occident’’ par l’Algérien Mohand Tazrout, éminent intellectuel dont l’œuvre n’a jamais éditée ou rééditée chez nous et qui achève sa longue et émouvante existence dans le plus grand dénuement à Casablanca. El-Moudjahid » du 28 septembre 1972
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