Les bons artistes copient, les grands artistes volent” — Pablo Picasso ou Steve Jobs ??? Certains attribuent cette citation Ă  Steve Jobs d’autres pensent qu’il l’a “empruntĂ©e CettecĂ©lĂšbre citation est souvent attribuĂ©e Ă  Pablo Picasso. Cependant, Quentin Tarantino pourrait trĂšs bien lui voler cette maxime. DĂ©couvrez en vidĂ©o comment le cinĂ©aste amĂ©ricain vole d’autres cinĂ©astes pour ses films. “Les bons artistes copient, les grands artistes volent”, ce qu’expliquait avec dĂ©lice Pablo Picasso. Lesbons artistes copient. Les grands artistes volent. Je ne sais pas d’oĂč vient ce mythe de l’idĂ©e originale. Il faut une prĂ©tention dingue pour croire qu’on peut crĂ©er quelque chose d’intĂ©ressant ex nihilo. Si vous ĂȘtes le seul Ă  les bons artistes copient, les grands artistes volent » Pablo Picasso. Toggle navigation. ACCUEIL (current) SERVICES; PROJETS; CONTACT; Commençons un projet ensemble —— +33(0) 3 10 94 04 40 —— contact@ 7 rue Roger Bouvron 10600 Barberey Saint Sulpice, (Fr) YELLOW HUTS. Application. Taittinger. Ynovae. Yellow Huts. Client : Yellow Huts. Date de Jevais reformuler vos textes et articles en profondeur. Pablo Picasso disait : « les bons artistes copient, alors que les artistes gĂ©niaux volent. ». Ce qui veut dire en clair que les grands gagnants ne sont pas toujours ceux qui crĂ©ent eux-mĂȘmes leurs Ɠuvres. Ce n’est pas l’actualitĂ© qui fera mentir Picasso. Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. PyCalc , Modules supplĂ©mentaires Python pour les calculatrices PostĂ© le 18/05/2020 1055 PyCalc est un pack de modules Python supplĂ©mentaires , portant certains modules standards de la version PC de Python , et contient Ă©galement des amĂ©liorations nouvelles fonctions pour des modules dĂ©jĂ  existants , le tout Ă©tant conçu , adaptĂ© ; pour un usage sur et pour des calculatrices Python. Ces modules sont sous forme de scripts Python , trĂšs compacts. En dĂ©tail , trois voire quatre nouveaux modules sont implĂ©mentĂ©s , et on a une quarantaine de nouvelles fonctions avec les nouveautĂ©s pour les modules existants . La phase de dĂ©veloppement de PyCalc est dĂ©jĂ  terminĂ©e pour la V1 TĂ©lĂ©chargement des scripts et du pack Voici une liste de ce que contient PyCalc , pour vous en donner un aperçu , avec l'Ă©tat des tests Module Math factorial, hypot , isclose , gcd Module Random choice , sample , shuffle Module Secrets choice , compare_digest , randbelow , randbits , token_bytes , token_hex , token_urlsafe Module Statistics fmean , harmonic_mean , mean , median , median_low , median_high , mode Module Itertools accumulate , chain , compress ,cycle , filterfalse , islice , repeat , starmap , takewhile Module Textwrap Non dispo encore dedent , fill , wrap N'hĂ©sitez pas Ă  faire une suggestion , et sur-ce bonne journĂ©e ! Les bons artistes copient. Les grands artistes volent. » RĂ©pĂ©tĂ©e Ă  l’envi par Steve Jobs, qui citait Picasso, cette phrase illustre Ă  merveille le contexte qui vit naĂźtre l’expo Ceci n’est pas une copie’ du CID, au Grand-Hornu. Tout d’abord, parce que l’on ignore encore Ă  qui attribuer avec certitude la paternitĂ© du cĂ©lĂšbre aphorisme – outre le peintre espagnol, on Ă©voque rĂ©guliĂšrement Faulkner, Eliot ou Stravinsky – mais aussi parce qu’il met le doigt sur une question insoluble, celle de la frontiĂšre, poreuse, mobile et floue, qui sĂ©pare contrefaçon et crĂ©ation. © COURTESY VOLKER ALBUS A grand renfort d’exemples enrichissant le dĂ©bat sous tous ses aspects, quitte Ă  parfois entrer en contradiction, le Centre d’Innovation et de Design s’est lancĂ© dans un passionnant exercice de cartographie » de la copie dans le design, secteur particuliĂšrement concernĂ© par une problĂ©matique plus globalisĂ©e que jamais. © BOB COPRAY NIELS WILDENBERG On ne s’étonnera d’ailleurs pas qu’un large pan de la rĂ©flexion soit accordĂ© aux diffĂ©rences culturelles – avec un oeil attentif sur l’industrie chinoise, royaume des copycats – et aux avancĂ©es technologiques, hacking, remix et impression 3D. Et plutĂŽt que de chercher une ligne de dĂ©marcation, qui permettrait de dĂ©signer victimes et coupables, le CID sous-titre son expo Entre innovation et imitation » et tente ainsi de distinguer l’inspiration, l’hommage et l’émulation du vulgaire plagiat, rappelant au passage que certains objets passĂ©s Ă  la postĂ©ritĂ© s’avĂšrent trĂšs largement influencĂ©s par des rĂ©alisations antĂ©rieures tombĂ©es dans l’oubli. © MICHEL DE CUBBER PlongĂ©e au coeur de l’impitoyable concurrence que se livrent l’ersatz et l’authentique, Ceci n’est pas une copie constitue un remarquable travail didactique, alimentĂ© par nombre d’objets signĂ©s des plus grands noms du design d’hier ou d’aujourd’hui, qui boucle le tour de la question tout en interrogeant notre rapport Ă  la crĂ©ativitĂ© et Ă  la consommation. Ceci n’est pas une copie, CID, 82, rue Sainte-Louise, Ă  7301 Hornu. – Jusqu’au 26 fĂ©vrier prochain. Suite au dĂ©pĂŽt de plainte d’Apple contre Samsung pour copie de ses iPhone et IPad, les fans de la firme Ă  la pomme et d’Android s’affrontent sur internet. Les adeptes des deux camps dĂ©terrent des vieux clichĂ©s pour dĂ©montrer qui a copiĂ© qui. Apple reproche Ă  Samsung d’avoir entre autre imitĂ© le design de ses produits et son interface graphique. La plainte est documentĂ©e avec de nombreuses photos. Les fans de Samsung ont donc sorti leur arme secrĂšte, le tĂ©lĂ©phone Samsung F700 au design proche de l’iPhone, qui aurait fait son apparition avant le smartphone d’Apple. La vĂ©racitĂ© de l’information a depuis Ă©tĂ© dĂ©mentie par les supporters de la firme de Cupertino. Au-delĂ  du duel, Samsung/ Apple, LG est pris Ă  tĂ©moin par les utilisateurs des deux bords. Apple aurait copiĂ© le LG Prada. DĂ©voilĂ© en septembre 2006, il ressemblait curieusement Ă  l’iPhone. LG s’en Ă©tait plaint au cours d’une confĂ©rence de presse. Woo-Young Kwak, responsable du dĂ©partement R&D, dĂ©clarait Nous considĂ©rons qu’Apple a copiĂ© le tĂ©lĂ©phone Prada aprĂšs avoir dĂ©voilĂ© son design au IF Design Award et que nous ayons remportĂ© le prix. ». Pour alimenter, un peu plus le dĂ©bat une vidĂ©o de Steve a refait surface oĂč il dit les bons artistes copient, les grands artistes volent ». Source appleinsider TagsActu tabletteAppleiPad2Samsung Glaxy Tab David Ogilvy est dĂ©finitivement une personnalitĂ© qui a sa place sur Out the Box ! La vie de celui que certains appellent le pĂšre de la publicitĂ© » est en effet trĂšs inspirante. Il fut un publicitaire de renom ainsi qu’un excellent homme d’affaire, et a su apporter une vision diffĂ©rente de celle qui prĂ©dominait Ă  l’époque. AprĂšs avoir dĂ©marrĂ© modestement vendeur de cuisiniĂšres au porte-Ă -porte, apprenti-chef
, Ogilvy a gravi les Ă©chelons professionnels jusqu’à devenir le propriĂ©taire d’une des plus grandes agences de publicitĂ© au monde ! Il a transformĂ© le monde de la publicitĂ© en lui donnant une nouvelle perspective, plus plaisante que ce qui se faisait alors. Il a surtout insufflĂ© de la crĂ©ativitĂ© ainsi qu’une morale dans les publicitĂ©s. Le magazine Time, admiratif de son instinct crĂ©atif et de son sens aigu des affaires, l’a mĂȘme consacrĂ© en 1962 magicien le plus convoitĂ© de l’industrie publicitaire » . Voici rĂ©sumĂ©e ici la vie d’un homme qui a connu une vie riche en Ă©vĂšnements. David Ogilvy, l’un des premiers Mad Men » de l’histoire de la pub
 Ogilvy, les jeunes annĂ©es David Mackenzie Ogilvy est nĂ© en Angleterre en 1911. Il Ă©tudia Ă  Eastbourne, puis Ă  Édimbourg Écosse avant de retourner en Grande-Bretagne, Ă  Oxford. Il rencontra peu de succĂšs dans ses Ă©tudes lĂ -bas. Il dĂ©cide alors de changer d’air et s’installe Ă  Paris, oĂč il dĂ©bute son apprentissage de la cuisine au Majestic HĂŽtel. AprĂšs un an, il retourne en Écosse et commence sa carriĂšre de vendeur au porte-Ă -porte. Le jeune Ogilvy est douĂ©, Ă  tel point que son employeur lui demande d’écrire un manuel d’instruction pour les autres vendeurs. Le livret devenu par la suite un classique en ce qui concerne la vente d’un produit finit par tomber entre les mains de Francis Ogilvy, le frĂšre aĂźnĂ© de David. Ce dernier le prĂ©sente aux managers de l’agence de pub londonienne pour laquelle il travaille, Mather & Crowther. L’agence, sĂ©duite, offre alors au jeune loup un poste de responsable de compte. En 1938, Ă  l’ñge de 27 ans, David Ogilvy parvient Ă  convaincre son agence de le laisser partir aux États-Unis pour un an. Ce sera le dĂ©but de sa prodigieuse ascension vers le succĂšs. Pendant la guerre, il est contraint d’abandonner la publicitĂ© et repart en Grande Bretagne oĂč il devient agent secret. En 1943, il sera mĂȘme nommĂ© secrĂ©taire d’ambassade Ă  Washington. La fin de la guerre marque pour Ogilvy une pĂ©riode de remises en question. D’un cĂŽtĂ© sa carriĂšre diplomatique s’annonce sous les meilleurs auspices, mais d’un autre il est tentĂ© par un retour aux sources. C’est ainsi qu’il partira pour la Pennsylvanie oĂč il rejoindra pour 3 ans
 une communautĂ© amish ! Mais en 1948, la passion du business est trop forte et le pousse Ă  reprendre du service. Il entreprend alors d’exporter aux Etats-Unis Mather & Crowder, l’agence publicitaire londonienne de ses dĂ©buts. La crĂ©ativitĂ© au secours de la rĂ©clame publicitaire Peu de temps aprĂšs avoir Ă©tĂ© lancĂ© dans le monde de la publicitĂ©, Ogilvy a littĂ©ralement transformĂ© cette discipline pour l’amener dans une direction inĂ©dite. Deux anecdotes illustrent bien son style. Un jour, un homme entre dans l’agence londonienne oĂč travaille Ogilvy car il souhaite lancer une campagne publicitaire pour promouvoir l’inauguration de son hĂŽtel. Mais son faible budget 500 $, lui vaut d’ĂȘtre confiĂ© au novice de l’entreprise. Loin de lui rire au nez, le jeune Ogilvy relĂšve le challenge en achetant des cartes postales d’invitations qu’il envoie Ă  toutes les personnes qu’il peut trouver dans l’annuaire tĂ©lĂ©phonique local. Lors de l’inauguration, le carnet de rĂ©servations de l’hĂŽtel est plein, et Ogilvy sait qu’il a rĂ©alisĂ© un premier coup de maĂźtre. Dans sa biographie, il confessera d’ailleurs avoir Ă  ce moment lĂ  goĂ»tĂ© le sang 
 Cette mĂ©taphore quelque peu vampirique pour dire qu’il compris Ă  cet instant que ce mĂ©tier Ă©tait sa vocation. Cette expĂ©rience lui a aussi donnĂ© une meilleure comprĂ©hension de l’importance de la publicitĂ© directe. L’autre anecdote est devenu un cas d’école dans le domaine publicitaire. Elle a lieu quelques temps aprĂšs, alors qu’Ogilvy a dĂ©jĂ  cofondĂ© sa propre agence. Un beau jour, Hathaway, un fabricant de chemises encore inconnu appelle l’agence. Il explique vouloir une campagne publicitaire pour vanter ses produits, mais il ne dispose que d’un budget de 30 000 dollars. Le dĂ©fi est grand, mais il n’effraie pas notre jeune publicitaire qui dĂ©cide de le relever
 Ă  ses conditions. Il s’occupera de cette campagne seulement s’il en a le contrĂŽle total et qu’Hataway s’engage Ă  ne pas intervenir dans le processus crĂ©atif. Le fabricant de chemises dĂ©cide jouer le jeu et lui laisse donc carte blanche. Ogilvy créé alors un symbole qui sera l’image de la marque pour les annĂ©es Ă  venir le fameux Hathaway Man ». L’homme Hathaway Sa recette une image percutante, immĂ©diatement reconnaissable et crĂ©ant un affect dans l’esprit du consommateur paramĂštre qui Ă©tait alors trop pris Ă  la lĂ©gĂšre dans les publicitĂ©s de l’époque. Les mots sont mis Ă  l’honneur avec une part importante rĂ©servĂ©e au texte. Les phrases sont simples, courtes, incisives et taillĂ©es pour sĂ©duire le futur client. La campagne fera un tabac et propulsera la jeune agence, ainsi qu’Ogilvy, parmi ceux sur lesquels il faut compter. Il rĂ©itĂšrera ces coups d’essai pour des marques aujourd’hui mondialement connues, comme Schweppes, par exemple. Épilogue Les rĂ©ussites successives et les gros contrats affluant, David Ogilvy et ses compĂšres dĂ©cidĂšrent de se dĂ©velopper Ă  l’international. Leur entreprise avait une telle envergure qu’elle fut la premiĂšre agence de publicitĂ© Ă©trangĂšre a obtenir le droit d’entrĂ©e en Union SoviĂ©tique en 1989. L’esprit d’initiative et la crĂ©ativitĂ© d’Ogilvy ont propulsĂ© l’entreprise en la 1Ăšre plus grande agence du monde ! Mais ce sont aussi son goĂ»t pour la recherche, son humour et son honnĂȘtetĂ© qui l’ont menĂ© vers le succĂšs. A ce sujet, il a d’ailleurs dit un jour J’ai appris Ă  vendre, ce qui veut dire Ă©couter plus que parler, connaĂźtre le produit Ă  fond, avoir le sens de l’humour et dire la vĂ©ritĂ©. » Trouver son style, sa patte, tel Ă©tait aussi le leitmotiv d’Ogilvy. Si comme le disait Steve Jobs les bons artistes copient, les grands artistes volent », il semblerait que chez Ogilvy cette maxime soit nuancĂ©e par sa volontĂ© d’imposer un style sans renier l’expĂ©rience de ses prĂ©dĂ©cesseurs. Ainsi, il gardera Ă  l’esprit durant toute sa carriĂšre les enseignements de ses maĂźtres Ă  penser. De grands publicitaires, comme Rosser Reeves, Claude Hopkins, Dr. George Gallup ou encore Raymond Rubicam. Pour en apprendre plus sur la vie fascinante de cet homme, je vous conseille d’aller lire la page Wikipedia d’Ogilvy ou de vous procurer son livre, les confessions d’un publicitaire ». Celui-ci est Ă©puisĂ© en version française mais sans doute trouvable chez les bouquinistes, mais sachez que la version originale de l’ouvrage est toujours vendue. Et vous chers lecteurs, aviez-vous dĂ©jĂ  entendu parler de ce grand monsieur de la publicitĂ© ? Qu’est-ce que son histoire vous inspire ? Partagez vos impressions en commentaires ! Recherches associĂ©es david ogilvycomment le model de david ogilvy demeure classiqueDavid Mackengie Ogilvydavid ogilvy publicitĂ©david oglivi Notre sĂ©lection des meilleures collections en ligne d’images du domaine public. Vous pouvez modifier ces images et les utiliser comme vous le souhaitez
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Vous pouvez soit faire une recherche par mot-clĂ©, soit parcourir les collections Ă  partir de la page d’accueil. Parmi les points forts, on peut citer des centaines de daguerrĂ©otype set de merveilleuses montgolfiĂšres et d’autres illustrations de machines volantes anciennes de la collection Tissandier. La British Library – plus de 1 000 000 d’images En 2013, la British Library a annoncĂ© qu’elle ajoutait plus d’un million d’images gratuites sur Flickr pour que chacun puisse utiliser, remixer et rĂ©utiliser ».. C’est un prĂ©cĂ©dent impressionnant Ă  crĂ©er et un autre musĂ©e et une autre bibliothĂšque feraient bien de suivre. La plupart des images sont tirĂ©es de livres et de manuscrits enluminĂ©s du XVIIe au XIXe siĂšcle, mais il y a aussi beaucoup d’autres choses. Vous ne savez pas par oĂč commencer ? Essayer cette sĂ©lection de 430 images pour une idçee de ce qui est disponible. Les collections du CalisphĂšre – plus de 1 000 000 d’images Les collections sur CalisphĂšre proviennent de dix campus de l’UniversitĂ© de Californie et d’autres bibliothĂšques, archives et musĂ©es importants de Californie. CalisphĂšre est une collection de collections et le meilleur moyen de s’en rendre compte est de plonger Ă  l’intĂ©rieur et de profiter du caractĂšre alĂ©atoire de des affiches cool sur les agrumes Ă  Affiches de guerre britanniques. Le British Museum – plus de 1 000 000 d’images Plus d’un million d’ images mais les droits d’utilisation sont assez dĂ©licats. La plupart des images du British Museum sont publiĂ©es sous une Creative Commons Share & Adapter la licence. Vous ĂȘtes libre de les remixer, de les transformer et de vous en inspirer – en d’autres termes, de faire de l’art. Mais il faudra vous renseigner pour une utilisation commerciale. La collection du Rijksmuseum – plus de 500 000 images Le Rijksmuseum est le musĂ©e national nĂ©erlandais basĂ© Ă  Amsterdam. Non seulement ils encouragent les artistes Ă  crĂ©er de nouvelles Ɠuvres Ă  partir de leurs images, mais ils offrent une prix annuel de 10 000 euros pour les meilleures Ɠuvres créées Ă  l’aide de Rijksstudio. La collection Met – plus de 400 000 images FondĂ© en 1870, le Met vit dans trois lieux emblĂ©matiques de la ville de New York qui abritent plus de 5 000 ans d’art du monde entier. La collection en ligne du Met est aussi riche en choix que ses musĂ©es, avec plus de 280 000 images Ă  puiser. Toutes les images de Met ne sont pas du domaine public et seules certaines d’entre elles sont tĂ©lĂ©chargeables en haute rĂ©solution.

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